Ombrie après avoir reçu la première dose dans une autre région ou à l’étranger
Les demandes seront traitées par le Numero Unico Sanità qui contactera les utilisateurs pour prendre rendez-vous pour la deuxième dose à une date compatible avec le délai prévu par le vaccin, compatible avec la disponibilité du vaccin.
Les demandes seront traitées par NUS qui contactera les utilisateurs pour fixer un rendez-vous pour la deuxième dose à une date compatible avec le délai prévu par le vaccin, compatible avec la disponibilité du vaccin.
PERSONNES ASSISTÉES À LA GESTION DE LA DEUXIÈME DOSE QUI ONT FAIT LA PREMIÈRE DOSE EN DEHORS DE L’OMBRIE / ITALIE
Les résidents / domiciliés de la Région Ombrie qui ont pris la première dose en dehors de la Région (dans d’autres Régions italiennes ou à l’étranger) sont pris en charge pour l’administration de la deuxième dose uniquement pour les vaccins utilisés sur le territoire national et avec les règles en vigueur pour l’utilisation de la même chose.
Pourront remplir le formulaire
Demande d’une deuxième dose de vaccin en Ombrie – Demande d’une deuxième dose de vaccin en Ombrie.Le formulaire doit être rempli par ceux qui demandent à recevoir la deuxième dose de vaccin en Ombrie après avoir reçu la première dose dans une autre région ou à l’étranger.
Les demandes seront traitées par le Numéro Unique de Santé qui contactera les utilisateurs pour prendre rendez-vous pour la deuxième dose à une date compatible avec le délai prévu par le vaccin, compatible avec la disponibilité du vaccin.
Les demandes seront traitées par NUS qui contactera les utilisateurs pour fixer un rendez-vous pour la deuxième dose à une date compatible avec le délai prévu par le vaccin, compatible avec la disponibilité du vaccin.
- Au-delà de l’urgence : la communauté, c’est la santé
- C’est une occasion historique : nous relançons la santé publique en repartant de la Santé et de la Communauté.
Télécharger le programme
Présentation L’urgence sanitaire a mis en lumière toutes les limites d’une organisation gérée par segments distincts et dans une logique de performance. En d’autres termes, il a dit que la santé est le bien-être global (WHO Shanghai 2016), un entrelacement profond entre le soin de soi et des autres, l’écologie intégrale.
Puisque la communauté est le contexte qui fonde les relations, il n’y a pas d’autre lieu aussi propice pour assumer la santé comme un droit pour tous, un élément de civilisation et une véritable perspective d’avenir sur laquelle se concentrer pour le bien commun.
Le changement n’est pas principalement organisationnel mais nécessite un nouveau paradigme culturel et n’est pas seulement une stratégie d’en haut mais aussi une expérience d’en bas qui devient une pensée partagée.
- Cette conviction a donné naissance au Manifeste « Santé bien commun » et l’association « Community First » est née.
- Penser une « maison communautaire » comme une maison de santé est essentiel pour que la communauté reconnaisse, rencontre, réfléchisse et oriente le patrimoine social vers la santé comme élément d’identité et de vision pour l’avenir.
- Car l’avenir est la provocation qui nous engage directement à réfléchir à ce que nous pouvons léguer aux générations après nous.
La conférence « Au-delà de l’urgence : la communauté c’est la santé » part de ces postulats, découle de la loi.
4bis et entend entamer, avec toutes les institutions, un chemin qui soit à la fois celui d’approfondir et de partager la vision de la communauté et la proposition et l’initiation de voies de recherche, de consolidation et d’innovation sociale pour un « bien-être communautaire » différent, où les ressources et les problèmes sont à la base de décisions participatives et durables.